Le livre de Dina de Herbjorg Wassmo
Après quelques interrogations sur le désir de lecture de ce roman, je me suis lancée ...
Autant vous dire que j'aurais pû économiser temps et argent car cela fait à peine une semaine que le livre est refermé et ...
ô damned, je ne m'en souviens déjà plus !!!
Certes, ce mois de juin était un peu chaotique et fasitidieux en matière de lecture mais enfin était-ce dû à mon esprit
vagabond ou à des choix de lectures pas très judicieux ?!!!! Et oui, c'est bien la question !
Deux mots tout de même sur ce livre de Dina (...mais pas plus !!).
L'auteur nous raconte donc dans ce premier tome, le parcours et le profil atypique d'une jeune femme très singulière qui
dérange par son attitude et autour de laquelle des personnages vont graviter pour tenter de l'apprivoiser, de la comprendre voire de l'aimer.
L'histoire et surtout le sujet sont
plûtot intéressant, c'est probablement le style de l'auteur qui ne m'aura pas convaincu : une construction décousue pour mieux nous perdre et une narration assez lente qui donne un sentiment
de lourdeur et de noirceur qui m'ont ennuyée.
Je crois pourtant que ce roman a eu un certain succès ... mais je ne saurais vous le recommander !
Le mot de l'éditeur :
" Figé dans un linceul de glace, à l'extrême pointe de la Norvège, le Nordland est un pays de fin du monde. [...] Là-bas, se déchaîne une furie, une femme, Dina, que la mort suit comme son ombre.
Enfant, Dina est frappée par le destin, par la main de Dieu ou par celle du diable. Ou par les trois. Elle tue sa mère. Maudite par son entourage, abandonnée à elle-même, elle grandit, sauvage
et, surtout, libre. Dès lors, Dina, arrogante, farouche, ira, seule, sur un long chemin de hargne. [...] Le Livre de Dina est un long requiem, un chant de douleur et de violence, de folle passion
et d'insondable solitude. Ici, l'amour est une danse effrénée et voluptueuse, une torture, une mise à mort. Herbjørg Wassmo dirige son tumultueux personnage d'une plume rapide, sensuelle,
vertigineuse. Elle dompte les mots, les images, les sens, tout comme sa Dina asservit son étalon ou ses amants, assouvit sa rage de vivre. Sans palabre. "
Martine Laval, Télérama