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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 05:19

 

Histoire de l'oubli de Stefan Merrill Block

 

 

 

Si ce roman était un paysage : une prairie
 

Si ce roman était un objet : une porte 

 

Si ce roman était un verbe : transmettre

 

Si ce roman était un instrument de musique : la harpe troubadour

 

Si ce roman était une qualité : la sérenité

 

Si ce roman était un acteur : Gaspard Ulliel

 

Si ce roman était un cadeau : une clé

 

Si ce roman était un mot : ricochet

 

Si ce roman était une pièce de la maison : la chambre

 

Si ce roman était un moyen de communication : un dossier

 

Si ce roman était un végétal : un arbre 

 

Si ce roman était un peintre : Gustav klimt

 

 

Le mot de l'éditeur :

Impressionnant premier roman d’un auteur de vingt cinq ans, Stefan Merrill Block, Histoire de l’oubli raconte, des années 50 à la fin des années 90, l’histoire d’une famille frappée de génération en génération par une forme précoce de la maladie d’Alzheimer.
Seth, un adolescent de 15 ans, conscient que ses parents lui ont toujours caché les secrets du passé familial, se lance dans une véritable enquête sur ses origines. à quelques centaines de kilomètres de là, Abel Haggard, un vieil ermite bossu, ne vit plus que de souvenirs, attendant le retour de sa fille partie vingt-et-un ans plus tôt. Et si la rencontre inespérée de Seth et Abel parvenait à rompre l’engrenage de la malédiction ?
Fait de tragédie mais aussi d’humour et d’espoir, un grand livre plein d’émotion, qui ne vous lâche pas.

« Une de ces œuvres qui frôlent le génie. » The Independent « Un premier roman époustouflant. » Publishers Weekly « Inoubliable. » The New York Times
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7 janvier 2013 1 07 /01 /janvier /2013 05:24

 

Les jumelles de Tessa De Loo

 

 

 

Si ce roman était un paysage : un village dans la brume
 

Si ce roman était une saison :l'hiver

 

Si ce roman était un bruit : un train en gare
 

Si ce roman était un vêtement : un peignoir de bain

 

Si ce roman était un verbe : séparer

 

Si ce roman était une qualité : la compréhension

 

Si ce roman était un peintre : Bruegel

 

Si ce roman était une émotion : l'injustice

 

Si ce roman était un cadeau : les retrouvailles

 

Si ce roman était une pièce de la maison : la cuisine

 

Si ce roman était un vilain défaut : la jalousie

 

Si ce roman était un mot : distance

 

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Elles ont grandi loin l’une de l’autre depuis leur plus tendre enfance. Anna, en Allemagne, a dû affronter les rigueurs de la vie à la campagne. Lotte, de santé fragile, est partie en Hollande et a vécu dans un milieu aisé.
On dit qu’un lien particulier unit les jumeaux…
Soixante-dix ans après leur séparation, le destin les conduit dans le même institut thermal. Mais le fil ténu qui les lie a été bien fragilisé par les épreuves de l’histoire. Peuvent-elles encore redevenir de simples sœurs quand, sous l’oppression nazie, l’une était du côté des victimes et l’autre des bourreaux ?


Ce roman best-seller a fait l'objet d'une adaptation cinématographique nominée aux Oscars.

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 05:05

Le mec de la tombe d'à côté

 

de Katarina Mazetti

 

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Si ce roman était une actrice : Julie Depardieu

 

Si ce roman était une chanson : "On dirait que ça te plaît de marcher dans la boue"

 

Si ce roman était un cadeau : une boîte de chocolat

 

Si ce roman était une couleur : parme

 

Si ce roman était un metteur en scène : Richard Curtis

 

Si ce roman était un adjectif : pétillant

 

Si ce roman était une boisson : un lait fraise

 

Si ce roman était une voiture : une coccinelle

 

Si ce roman était une saison : le printemps

 

Si ce roman était une fleur : la marguerite

 

Si ce roman était une pièce de la maison : la cuisine

 

Si ce roman était un instrument de musique : une guitare

 

 

Le mot de l'éditeur :

Placez côte à côte sur un banc, dans un cimetière, un vieux garçon séduisant et une jeune veuve terne. Elle est bibliothécaire et ne pense que culture, il est agriculteur et n’imagine pas qu’on puisse lire « de son plein gré ». Avec ces ingrédients, Katarina Mazetti a conquis les lecteurs suédois qui se sont arraché "Le Mec de la tombe d’à côté". Il est vrai qu’un coup de foudre parmi les tombes, à l’heure où l’horloge biologique de Madame sonne l’alarme, ne manque pas de ressorts comiques. Mais ce roman d’un amour hors norme fait aussi la démonstration qu’on ne s’affranchit pas sans douleurs de sa classe sociale : lorsqu’il s’agit de choisir entre opéra et traite des vaches, la passion est requise. Et c’est un minimum.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 05:20

 

Le grand coeur de Jean-Christophe Rufin

 

 

 

Si ce roman était  un paysage : un port 
 

Si ce roman était un acteur : Liam Neeson
 

Si ce roman était un objet : une pièce d'or
 

Si ce roman était une odeur : l'odeur d'une peau de bête
 

Si ce roman était un style de musique : un chant grégorien

 

Si ce roman était un verbe : découvrir

 

Si ce roman était un vilain défaut : la vanité

 

Si ce roman était un végétal : la fleur de lys

 

Si ce roman était un bruit : le bruit du metal frappé

 

Si ce roman était un peintre : Jean Fouquet

 

Si ce roman était un vêtement : une longue tunique

 

Si ce roman était un adjectif : déterminé

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Dans la chaleur d'une île grecque, un homme se cache pour échapper à ses poursuivants. Il évoque sa vie hors du commun et tente de démêler l'écheveau de son destin. Fils d'un modeste pelletier, il est devenu l'homme le plus riche de France. Il a permis à Charles VII de terminer la guerre de Cent Ans. Il a changé le regard sur l'Orient. Avec lui, l'Europe est passée du temps des croisades à celui de l'échange. Comme son palais à Bourges, château médiéval d'un côté et palais Renaissance de l'autre, c'est un être à deux faces. Aussi familier des rois et du pape que des plus humbles maisons, il a voyagé à travers tout le monde connu. Au faîte de sa gloire, il a vécu la chute, le dénuement, la torture avant de retrouver la liberté et la fortune. Parmi tous les attachements de sa vie, le plus bouleversant fut celui qui le lia à Agnès Sorel, la Dame de Beauté, première favorite royale de l'Histoire de France, disparue à vingt-huit ans. Son nom est Jacques C?ur. Il faut tout oublier de ce que l'on sait sur le Moyen Âge et plonger dans la fraîcheur de ce livre. Il a la puissance d'un roman picaresque, la précision d'une biographie et le charme mélancolique des confessions.
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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 05:27

 

Le Vicomte pourfendu d'Italo Calvino

 

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Si ce roman était une couleur :Gris


Si ce roman était une boisson :Un Américano
 

Si ce roman était un metteur en scène :Tim Burton
 

Si ce roman était un instrument de musique :Une Basse
 

Si ce roman était un adjectif : Dual

 

Si ce roman était un vêtement : Un long manteau noir à capuchon

Si ce roman était une chanson : Riders on the storm (the Doors).

 

Si ce roman était un verbe : être

 

Si ce roman était un dessert :Tiramisu

 

Si ce roman était un acteur : Gary Oldman

 

Si ce roman était une saison : Automne

 

Si ce roman était un arbre : un plaqueminier ( arbre à kakis )

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Au cours d’une bataille contre les Turcs, Médard de Terralba, chevalier génois, est coupé en deux par un boulet de canon. Ses deux moitiés continuent de vivre séparément, l’une faisant le bien, l’autre mutilant tout sur son passage.
Ce conte est pétri d’humour et de cynisme. Le monde imaginaire de Calvino où des doigts coupés indiquent la route à suivre, où les lépreux vivent heureux a pourtant toutes les couleurs du réel. Et Le Vicomte pourfendu prouve avec brio que la vertu comme la perversité absolues sont également inhumaines.

Si ce roman était une boisson :Un Américano

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 03:47

 

Poussière d'homme de David Lelait

 

 

 

 

Si ce roman était un cadeau : un pendentif
 

Si ce roman était un verbe : crier
 

Si ce roman était une pièce de la maison : la chambre à coucher
 

Si ce roman était un paysage : la mer à perte de vue
 

Si ce roman était un moyen de communication : l'écriture

 

Si ce roman était un style de musique : un requiem

Si ce roman était une saison : l'hiver

 

Si ce roman était un dicton : Chacun porte sa croix

Si ce roman était un acteur : Jacques Gamblin

Si ce roman était un autre auteur : Thomas Mann

 

Si ce roman était un vilain défaut : l'indiscrétion

Si ce roman était un mot : fusion

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

« Ce dimanche 3 avril, au soir, tes jours d’homme m’ont filé entre les doigts. Au presque commencement de ma vie, je t’ai perdu, toi avec qui je voulais la finir. Nous avions oublié d’être mortels, le temps nous a rattrapés… La voix blanche et la colère noire, j’ai eu beau t’appeler, tu étais déjà parti, loin. Ta vie, minuscule tourbillon de quelques lunes et soleils, cessait là de tournoyer, sur le rivage carrelé, blanc et glacé, d’un hôpital.
Je fais le rêve que l’on nous redonne quelques heures, une poignée d’heures d’une toute petite nuit, ravies entre le tomber d’un jour et le lever d’un autre. Ce ne sera qu’un tout petit moment, le temps de refermer les portes de notre vie ensemble, de nous serrer une dernière fois l’un contre l’autre avant que nos corps volent en éclats. Une minuscule escale pour rattraper ce temps échappé, arraché, et te dire l’après-toi, le sans-toi, la béance à chaque seconde de mes jours, la douloureuse colère depuis ta vie suspendue, l’amour de toi qui me cogne au-dedans. »

David Lelait, la quarantaine, est le biographe chez Payot d'Eva Peron, Maria Callas, Romy Schneider, Edith Piaf et Dalida. Il a publié deux essais aux Éditions Anne Carrière, Gay culture et Les impostures de la célébrité, ainsi qu'un roman, Sur l'épaule de la nuit. Poussière d'homme est un récit bien plus intime. Il vit à Paris.
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1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 04:00

 

Home de Toni Morrison

 

 

 

 

Si ce roman était  une saison: l'été

 


Si ce roman était un vêtement : un chapeau 
 

Si ce roman était une boisson : rhum
 

Si ce roman était un verbe: démanteler

 

Si ce roman était un meuble : rocking chair

 

Si ce roman était un vilain défaut : la rancune

 

Si ce roman était un réalisateur : Steven Spielberg (La couleur pourpre)

 

Si ce roman était un adjectif : délicat

 

Si ce roman était un paysage : des champs de coton à perte de vue

 

Si ce roman était un style de musique : gospell

 

Si ce roman était un objet : ventilateur

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

L’histoire se déroule dans l’Amérique des années 1950, encore frappée par la ségrégation. Dans une Amérique où le « White only » ne s’applique pas qu’aux restaurants ou aux toilettes, mais à la musique, au cinéma, à la culture populaire. L’Amérique de Home est au bord de l’implosion et bouillonne, mais c’est ici la violence contre les Noirs américains, contre les femmes qui s’exprime. Les grands changements amorcés par le rejet du Maccarthisme, par la Fureur de vivre ou le déhanché d’Elvis n’ont pas encore commencés. En effet, les Noirs Américains sont brimés et subissent chaque jour le racisme et la violence institutionnalisés par les lois Jim Crow, qui distinguent les citoyens selon leur appartenance « raciale ». Pour eux, le moindre déplacement, même le plus simple, d’un état à l’autre, devient une véritable mission impossible. En réponse à cette oppression, l’entraide et le partage – facilités par l’utilisation du Negro Motorist Green Book de Victor H. Green qui répertorie les restaurants et hôtels accueillant les noirs dans différents états – sont au cœur des relations de cette communauté noire dans une Amérique à la veille de la lutte pour les droits civiques.
La guerre de Corée vient à peine de se terminer, et le jeune soldat Frank Money rentre aux Etats-Unis, traumatisé, en proie à une rage terrible qui s’exprime aussi bien physiquement que par des crises d’angoisse. Il est incapable de maintenir une quelconque relation avec sa fiancée rencontrée à son retour du front et un appel au secours de sa jeune sœur va le lancer sur les routes américaines pour une traversée transatlantique de Seattle à Atlanta, dans sa Géorgie natale. Il doit absolument rejoindre Atlanta et retrouver sa sœur, très gravement malade. Il va tout mettre en œuvre pour la ramener dans la petite ville de Lotus, où ils ont passé leur enfance. Lieu tout autant fantasmé que détesté, Lotus cristallise les démons de Frank, de sa famille. Un rapport de haine et d’amour, de rancœur pour cette ville qu’il a toujours voulu quitter et où il doit revenir. Ce voyage à travers les États-Unis pousse Frank Money à se replonger dans les souvenirs de son enfance et dans le traumatisme de la guerre ; plus il se rapproche de son but, plus il (re)découvre qui il est, mieux il apprend à laisser derrière lui les horreurs de la guerre afin de se reconstruire et d’aider sa sœur à faire de même.

 

 

 

 

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 05:02

 

 

"L'origine de la violence" de Fabrice Humbert

  

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Si ce roman était une couleur : le vert de gris 

Si ce roman était un autre roman : Lignes de faille de Nancy Huston
Si ce roman était un paysage : le no man's land  
Si ce roman était une saison : l'hiver 
Si ce roman était un metteur en scène : Patrice Lecomte 
Si ce roman était une boisson : de l'eau tiède 
Si ce roman était un mot : transgénérationnel 
Si ce roman était un bruit : le silence de la peur 
Si ce roman était un adjectif : fascinant 
Si ce roman était une odeur : une odeur nauséabonde 

Si ce roman était un verbe : comprendre 

Si ce roman était un instrument de musique : un violon   

Le mot de l'éditeur : 

Lors d'un voyage scolaire en Allemagne, un jeune professeur découvre au camp de concentration de Buchenwald la photographie d'un détenu dont la ressemblance avec son propre père le stupéfie et ne cesse de l'obséder. Ce prisonnier, David Wagner, est en fait son véritable grand-père. Peu à peu se met en place l'autre famille, la branche cachée, celle dont personne chez les Fabre n'évoque l'existence... Au cours de sa quête, le jeune homme comprend qu'en remontant à l'origine de la violence, c'est sa propre violence qu'on finit par rencontrer...

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 04:13

 

Ca va, Jeeves ? de P.G Wodehouse

 

 

 

 

Si ce roman était un lieu: un club de Gentleman de Londres

 

Si ce roman était un repas: des œufs brouillés

 

Si ce roman était un vêtement: une culotte de golf

 

Si ce roman était un adjectif: savoureux

 

Si ce roman était une situation: un imbroglio

 

Si ce roman était une expression: LOL

 

Si ce roman était une qualité : le rebondissement cocasse

 

Si ce roman était un des 5 sens : le goût

 

Si ce roman était un nom : un micmac

 

Si ce roman était un tissu : le tweed

 

Si ce roman était une danse : la polka

 

Si ce roman était un comique : Buster Keaton

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

« Malgré ses efforts pour surpasser son maître d’hôtel, le célèbre Jeeves, Bertram Wooster, le narrateur, ne parvient guère à aider les invités de sa tante, à réconcilier les fiancés brouillés ni à obtenir du timide éleveur de tritons qu’il déclare ses tendres sentiments pour une larmoyante jeune fille sensible à la beauté des étoiles. Une fois encore, l’intervention de Jeeves s’avère donc indispensable et efficace. L’humour de P. G. Wodehouse réside pour l’essentiel dans les contrastes qu’il sait créer : les formules les plus stéréotypées de la conversation courante sont utilisées dans un contexte inhabituel ; plus généralement, la disproportion entre les faits racontés, souvent anodins, et la manière de les présenter comme s’il s’agissait d’une véritable épopée suscite l’intérêt amusé du lecteur qui se laisse entraîner dans un tourbillon de rebondissements parfois farfelus, mais toujours distrayants. »

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30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 04:52

 

L'Enigme du retour de Dany Laferrière

 

 

 

 

Si ce roman était une couleur  : orange foncé
 

Si ce roman était un bruit : les bruits de la rue d'une petitie ville des caraïbes

 

 

Si ce roman était un cadeau :  un bon repas

 

Si ce roman était un moyen de communication : le bouche à oreille
 

Si ce roman était un végétal :  la canne à sucre
 

Si ce roman était une boisson : le rhum ambré
 

Si ce roman était un verbe : philosopher
 

Si ce roman était un paysage : un champ de bananiers

 

Si ce roman était un dicton : un tien vaut mieux que deux tu l'auras
 

Si ce roman était une odeur : la poussière d'un chemin de terre
 

Si ce roman était un super pouvoir : voler

 

 

Si ce roman était un adjectif : pensif

 

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

 

Le narrateur, écrivain vivant à Montréal, vient d'être informé de la mort de son père. Pour se rendre aux funérailles, il remonte tout d'abord vers le nord puis part pour Haïti, son pays d'origine, avec son neveu. Un roman en prose et en vers libres.

 

 

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