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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 04:32

 

La joueuse de go de Shan Sa

 

9782070424191

 

 

Si ce roman était un paysage : la Mandchourie dévastée par la guerre

Si ce roman était une saison : le printemps

Si ce roman était un instrument de musique : le violon

Si ce roman était un adjectif : sensuel

Si ce roman était un bruit : celui des pions sur le damier du go

Si ce roman était un cadeau : une peinture à l’encre

Si ce roman était une qualité : le sens de l’honneur

Si ce roman était un des 5 sens : le toucher

Si ce roman était un verbe : trahir

Si ce roman était une odeur : celle du sang

Si ce roman était un moyen de transport : un pousse-pousse

Si ce roman était un réalisateur : Wong Kar-waï

 

 

Le mot de l'éditeur :

Des personnages forts, une histoire d’amour jusqu’à l’ultime, ami ou ennemi, pour qui ouvre les yeux, la partie qui se joue dévoile tout ou presque de l’adversaire !
Quant au roman, il nous rappelle aussi ce que furent le tremblement de terre de Tokyo, l’envahisseur nippon, le calvaire mandchou et tous ces événements qui ponctuèrent l’histoire de deux peuples.

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 04:43

 

Olive Kitteridge de Elizabeth Strout

 

olive kitteridge

 

 

 

Si ce roman était un metteur en scène : Michael Curtiz

 

Si ce roman était un verbe : emmêler

 

Si ce roman était une couleur : mauve

 

Si ce roman était un sport : le golf

 

Si ce roman était une saison : le printemps

 

Si ce roman était une actrice : Joan Crawford

 

Si ce roman était une pièce de la maison : le patio

 

Si ce roman était une boisson : une citronnade

 

Si ce roman était un paysage : une jolie petite bourgade américaine

 

Si ce roman était un qualificatif : complexe

 

Si ce roman était un dicton : tout est question de point de vue

 

Si ce roman était un tableau : Summertime d'Edward Hopper

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

 Olive est l’épouse du pharmacien de Crosby, petite ville côtière du Maine. Elle est la mère de Christopher, qu’elle étouffe. Et aussi ce professeur de mathématiques tyrannique, au franc-parler souvent blessant, capable pourtant de surprenants élans de bonté.
Olive Kitteridge traverse cette fresque polyphonique où le destin des habitants de Crosby – héros ordinaires – s’entremêle sur une période de trente ans. Éclate alors une personnalité hors normes, cette femme a priori peu aimable, mais ô combien attachante.
Ce portrait offre d’Olive une multitude d’éclairages – parfois contradictoires, toujours justes. Rarement un écrivain a approché avec une telle puissance la singularité et la complexité de la nature humaine – son universalité, aussi.
Salué outre-Atlantique pour la virtuosité de sa construction et la finesse de son ton, Olive Kitteridge s’inscrit dans la lignée de romans américains tels Le cœur est un chasseur solitaire, de Carson McCullers, ou Les Corrections, de Jonathan Franzen.
 

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 04:17

 

Cent ans de solitude de Gabriel Garcia Marques

 

 

 

9782020238113

 

 

Si ce roman était une odeur : une odeur d'humidité
 

Si ce roman était un verbe : méditer

 

Si ce roman était un paysage : une forêt tropicale
 

Si ce roman était une boisson : un rhum sec
 

Si ce roman était un adjectif : exubérant

 

Si ce roman était un bruit : coup de tonnerre dans la monotonie

 

Si ce roman était une couleur : vert émeraude

 

Si ce roman était un sentiment : plénitude

 

Si ce roman était un vilain défaut : gourmandise, encore, encore, encore !!!

 

Si ce roman était un vêtement : une petite robe

 

Si ce roman était un cadeau : c'en est un !

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Une épopée vaste et multiple, un mythe haut en couleur plein de rêve et de réel. Histoire à la fois minutieuse et délirante d'une dynastie : la fondation , par l'ancêtre, d'un village sud-américain isolé du reste du monde ; les grandes heures marquées parla magie et l'alchimie, ; la décadence ; le déluge et la mort des animaux. Ce roman proliférant, merveilleux et doré comme une enluminure, est à sa façon un Quichotte sud-américain : même sens de la parodie, même rage d'écrire, même fête cyclique des soleils et des mots. Cents ans de solitude, compte parmi les chefs-d'œuvre de la littérature mondiale du XXe siècle. L'auteur a obtenu le prix Nobel de littérature en 1982

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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 04:15

 

Stoner de John Williams

 

9782842636449

 

 

Si ce roman était un verbe : se connâitre soi-même

 

Si ce roman était une couleur : vert amande

 

Si ce roman était un acteur : Tom Hanks

 

Si ce roman était une boisson : de l'eau de source

 

Si ce roman était une qualité : la sérénité

 

Si ce roman était un vêtement : un cardigan

 

Si ce roman était un moyen de communication : la littérature

 

Si ce roman était un instrument de musique : le piano

 

Si ce roman était un meuble : un secrétaire

 

Si ce roman était un paysage : une vallée anglaise verdoyante

 

Si ce roman était un vilain défaut : la soumission

 

Si ce roman était un film : Mr Smith au sénat de Franck Capra

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Né pauvre dans une ferme du Missouri en 1891, le jeune William Stoner est envoyé à l’université par son père, et au prix de quels sacrifices, pour y étudier l’agronomie. Délaissant peu à peu ses cours de traitement des sols, ce garçon solitaire découvre les auteurs, la poésie et le monde de l’esprit. Il déçoit les siens, devient professeur, se voue corps et âme à la littérature, sert ses étudiants, assiste impuissant aux ravages causés par une terrible crise économique et deux guerres mondiales, se trompe d’histoire d’amour et finit par renoncer au bonheur. Tout cela l’entame, mais rien ne le diminue : il lit. Célébration d’une âme droite enchâssée dans un corps que la vie a très tôt voûté, voilà le récit d’une vie austère en apparence, ardente en secret. « Au cours de sa quarante-troisième année, William Stoner apprit ce que d’autres, bien plus jeunes, avaient compris avant lui : que la personne que l’on aime en premier n’est pas celle que l’on aime en dernier et que l’amour n’est pas une fin en soi, mais un cheminement grâce auquel un être humain apprend à en connaître un autre » .

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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 05:37

 

L'écume des jours de Boris Vian

 

 9782253140870

 

 

Si ce roman était un paysage : un océan ensoleillé
 
Si ce roman était un réalisateur  : Emir Kusturica
 
Si ce roman était un mot : bonheur
Si ce roman était un dessert :une bombe glacée à l'héliotrope
 
Si ce roman était une odeur : le mimosa-réglisse
 
Si ce roman était un tableau : Les affinités électives de Magritte
 
Si ce roman était un végétal  : un nénuphar
 
Si ce roman était un verbe : insuffler
 
Si ce roman était un moyen de communication : un cure-oreilles électrique
 
Si ce roman était un sentiment : l'inéluctabilité
 
Si ce roman était un cadeau : des boucles d'oreilles réveil- matin
 
Si ce roman était un super pouvoir : "intensifier la vie"
 
 
 
Le mot de l'éditeur :
L'Ecume des jours : ce titre léger et lumineux annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette oeuvre d'une modernité insolente, l'une des plus célèbres du Xxe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir. Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des noirs américains...
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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 05:41

 

Disgrâce de J.M Coetzee

 

9782020562331

 

 

Si ce roman était une odeur : un parfum d'homme

 

Si ce roman était une saison : l'été

 

Si ce roman était un réalisateur : Stanley Kubrick

 

Si ce roman était un plat : un plat rafiné aux saveurs exotiques

 

Si ce roman était un style de musique : de la musique classique

 

Si ce roman était un des 7 pêchés capitaux : la luxure

 

Si ce roman était un acteur : Donald Sutherland

 

Si ce roman était un arbre : un acacia calciné par la foudre

 

Si ce roman était un adjectif : dérangeant

 

Si ce roman un tableau : "L'enlèvement des Sabines" par Picasso

 

Si ce roman était un paysage : une terre rouge et aride d'Afrique

 

Si ce roman était un verbe : assumer

 

 

Le mot de l'éditeur :

 David Lurie est enseignant au Cap, en Afrique du Sud, passionné par les œuvres de Byron et de Wordsworth. Il a 52 ans, il est père et a deux fois divorcé. Dans son genre, c'est un Casanova. La question de sa vie sexuelle est facilement résolue : il paye une femme légère et chaque jeudi de la semaine est "une oasis de luxe et de volupté". Sur le chemin des écoliers, il croise l'une de ses étudiantes, Mélanie Isaacs. Il la séduit. Mais cette relation a tôt fait de faire scandale. Le professeur est démissionné pour "harcèlement sexuel". Pour éviter le regard critique de la ville, il se rend chez sa fille, Lucy, propriétaire d'une petite exploitation agricole en province. Là, il assiste aux tâches quotidiennes de la campagne, des ventes de fruits et légumes à la protection des animaux, à la violence aussi, qui monte depuis la ville, partagée entre le vol et le viol… 

 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 05:42

 

L'année brouillard de Michelle Richmond

 

9782266186155

 

 

 

Si ce roman était un objet : un pendule

 

Si ce roman était une qualité : la persévérence

 

Si ce roman était un dessert : un gâteau aux amandes amères

 

Si ce roman était une fleur : une pensée

 

Si ce roman était une actrice : Juliette Binoche

 

Si ce roman était un verbe : se remémorer

 

Si ce roman était un super pouvoir : l'hypnose

 

Si ce roman était une chanson : Manureva d'Alain Chamfort

 

Si ce roman était un moyen de communication : internet

 

Si ce roman était une couleur : le vert

 

Si ce roman était une odeur : l'iode

 

Si ce roman était un bruit : le clapotis des vagues

 
 
 
Le mot de l'éditeur :

Un froid matin brumeux sur Ocean Beach à San Francisco. Emma sautille sur le sable. Abby surveille la fillette de son compagnon qui court devant elle. Elle détourne un instant le regard, son objectif de photographe professionnelle a repéré quelque chose... Lorsque Abby se retourne à nouveau, la fillette a disparu.

Noyée ? Enlevée ? Perdue ? En l'absence de demande de rançon et faute d'indices matériels, la police clôt l'enquête. Jake, le père, s'enferme dans le chagrin et s'éloigne d'Abby. Elle seule continue de croire qu'Emma est vivante. Sa quête de l'enfant sera sa rédemption.

"Se rappeler", "à tout prix" : la plage, la vague, le parking, le van, le phoque échoué. Torturant sa mémoire, Emma traque l'indice majeur, l'instant fatal, la première minute de l'année brouillard...

 

 

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 05:43

 

Les saisons de la nuit de Colum McCann

 

9782264029508

 

 

Si ce roman était une saison : le printemps

 

Si ce roman était une couleur : le bleu du ciel

 

Si ce roman était un cadeau : un album photo

 

Si ce roman était un mot : union

 

Si ce roman était un arbre : un chêne décharné

 

Si ce roman était un instrument de musique : le saxophone

 

Si ce roman était un paysage : une vue de la statue de la liberté

 

Si ce roman était une chanson : "Something beautiful" de Sinead O'Connor

 

Si ce roman était un adjectif : sublime

 

Si ce roman était un sentiment : l'amour

 

Si ce roman était un vilain défaut : le fatalisme

 

Si ce roman était un acteur : Forest Whitaker

 

 

Le mot de l'éditeur :

  New York, début du xxe siècle : les bâtisseurs de gratte-ciel et les ouvriers du métro œuvrent inlassablement pour donner forme à Big Apple. Parmi ces travailleurs qui risquent leur peau au quotidien, Nathan Walker, un terrassier de 19 ans qui construit le tunnel de la ligne Brooklyn-Manhattan. New York, fin du xxe siècle : des milliers de sans-abri vivent dans les entrailles du métro. Parmi eux, le mystérieux Treefrog, dont la vie n'est pas sans lien avec celle de Nathan Walker... À la fois chant d'amour adressé à New York et mise en perspective historique de l'ingratitude d'une ville à l'égard de ceux qui la façonnèrent, Les saisons de la nuit est un roman bouleversant sur ces déchets du capitalisme que sont les sans-abri. Un grand roman urbain, un grand roman humain.

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 05:28

 

Coffee de Edgar Sekloka

 

9782848652122

 

 

Si ce roman était un objet : un masque

 

Si ce roman était un vêtement : un survêtement

 

Si ce roman était un bruit : un claquement de porte

 

Si ce roman était une saison : l'automne

 

Si ce roman était une odeur : celle de l'alcool

 

Si ce roman était un super pouvoir : celui de s'auto-amnésier

 

Si ce roman était un vilain défaut : la lâcheté

 

Si ce roman était un instrument de musique : un pipeau

 

Si ce roman était un adjectif : passif

 

Si ce roman était une pièce de la maison : le salon

 

Si ce roman était un animal : une anguille

 

Si ce roman était un paysage : la ville

 

 

 

Le mot de l'éditeur :
- sept ans, Koffi bordait sa mère soûle, tandis que son père couchait avec sa secrétaire. " Nègre blanc " sans racines, entre l'Afrique fantasmée et l'Occident de chute, il grandit en se blindant contre l'extérieur - la violence des sentiments. Dix ans, vingt ans, trente ans, cinquante ans : Koffi évolue à l'image du monde qui l'entoure, toujours plus dur et plus fermé. Quelle échappatoire ?

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 05:42

 

 

La classe de neige d'Emmanuel Carrère

 

 

 

 

Si ce roman était une pièce de la maison : une cachette sous l'escalier

 

Si ce roman était un adjectif : angoissant

 

Si ce roman était un bruit : le silence en écho d'un couloir d'hôpital

 

Si ce roman était un cadeau : un journal intime

 

Si ce roman était un moyen de communication : des mots lancés dans des boulettes de papiers

 

Si ce roman était une boisson : un chocolat trop chaud qui brûle la langue

 

Si ce roman était un mot : secret

 

Si ce roman était un paysage : une forêt dénudée par l'hiver

 

Si ce roman était une couleur : blanc

 

Si ce roman était un sentiment : la peur

 

Si ce roman était un film : un thriller psychologique

 

Si ce roman était un super pouvoir : celui de tout effacer 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Nicolas n'envisageait pas la classe de neige comme une partie de plaisir, mais comme une épreuve terrible ; elle le sera bien plus qu'il ne l'avait redouté. D'abord son père, habitué à faire de la route par son métier de représentant, décide de le conduire en voiture jusqu'au chalet pour lui éviter le trajet en autocar. Ensuite, il repart en oubliant les affaires de son fils dans son coffre.

Pour Nicolas qui a peur de tout, de s'oublier au lit, de se faire remarquer, d'être le souffre-douleur des autres, ça commence très mal malgré la gentillesse des moniteurs. Mais quand on apprend qu'un jeune garçon du village voisin a été victime d'un sadique et que la voiture recherchée par les gendarmes est la même que celle du père de Nicolas, le voyage dans l'horreur commence pour de bon

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