La soirée du Cercle en quelques mots ...

Vendredi soir se déroulait notre Cercle mensuel,

alors pour ceux qui n'ont pas pu venir ...et pour les autres, voici un petit condensé de la soirée.

Malgré le froid et la fatigue de novembre, c'est un Cercle chaleureux et enthousiaste qui s'est rassemblé hier ... dans une ambiance joyeuse, conviviale et toujours aussi passionnée !

Ce fut donc une soirée sans temps mort pendant laquelle :  

Lilia s'est interrogée sur les figures de style "tendances" ...

Sophie a succombé à la magie d'Asher Lev ... au détriment du Turquetto ... 

Framboise s'est résolu à prendre des notes et a ainsi inauguré ses lunettes de lectures ... 

Sandra nous a magnifiquement parlé d'une princesse oubliée, à en avoir la chair de poule ... 

Julie et Framboise ont fait un pari sur une vitre ...

Laetitia et moi avons eu quelques divergences d'opinion ... sur un chagrin non partagé !!

Et Anne-Laure a fait son entrée dans le Cercle ...

Et puis en vrac et dans le désordre, il a été question ...

De la basilique de Saint-Denis, de la fascination pour la Joconde, des soucis gynécologiques de Marie-Antoinette, des tritons qui font cauchemarder, de la Vénus noire, de l'incapacité à pardonner, de l'intelligenza de gauche parisienne insupportable, de la pertinence d'écrire pour panser ses blessures, de l'utilité de la révolution française, de la dette grecque, et du caramel Dukan divin dans le gâteau au chocolat ...

Bref, comme d'habitude : à romans passionnants discussions passionnantes ...

Comments

[framboise]

Chère Julie,


Et bien tu vois j'avais zapé que mes souvenirs de jeunesse avaient occasionné un pari. Contente de l'avoir gagné bien sûr surtout qu'en fait en te disant qu'il ya 30 ans lors de ma première
rencontre avec la Joconde il y avait une vitre entre moi et elle je n'étais plus si sûre de ce que j'affirmais. Comme quoi la mémoire c'est vraiment tout sauf mécanique là aussi c'est 
une histoire de confiance envers ses souvenirs donc envers soi même. A plus

[julie]

Chères toutes ,


Je fais ici devant vous constat de  ma cuisante défaite au pari "de la vitre de Mona" fait vendredi dernier. Je reconnais mon ignorante obstination , ma déficience d'objectivité
mémorielle et l'évidente suprématie en la matière de Framboise dont, n'en déplaise aux mauvaises langues, la mémoire s'avère infaillible. _"Je te dois donc bien une bouteille de champ, à
moins qu'un Perrier bien glacé...  


1956: un jeune Bolivien, Ugo Ungaza Villegas, lance une pierre sur le tableau et endommage le coude gauche de
Monna Lisa. Depuis, l'oeuvre est protégée par une vitre sécurisée