Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 mai 2014 1 19 /05 /mai /2014 04:40

Dongala - Photo de groupe au bord du fleuve

 

Si ce roman était un plat : un plat épicé et généreux

 

Si ce roman était un bruit : celui de la révolte qui monte

 

Si ce roman était une citation  : "Rien n'est beau comme le regard d'une femme en colère".

 

Si ce roman était un sentiment : l'injustice

 

Si ce roman était un verbe : lutter

 

Si ce roman est un dicton : "Ce n'est pas parce que le lion a maigri que tu vas le prendre pour un chat".

 

Si ce roman était un autre roman  : La couleur des sentiments

 

Si ce roman était une qualité : le courage

 

Si ce roman était une pièce de la maison : la cour

 

Si ce roman était un cadeau : une photo de groupe

 

Si ce roman était un adjectif : solidaire

 

 

Le mot de l'éditeur :

Confrontées à une terrible injustice sociale, des femmes, concasseuses de pierres, se mobilisent pour faire valoir leurs droits. Commencent alors une lutte exemplaire, politique et sociale, une quête du bonheur et un regain d'espoir au sein de leurs familles et de leurs couples. Elu meilleur roman français 2010 par la rédaction de Lire Prix Virilio 2010 – Prix Ahmadou Kourouma 2011. 
Partager cet article
Repost0
14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 04:19

 

Malavita par Caroline

  

  

 

 

Si ce roman était une boisson : Red bull

 

Si ce roman était une couleur : Rouge

 

Si ce roman était un verbe : Flinguer

 

Si ce roman était un cadeau : Une bombe à retardement

 

Si ce roman était un paysage :New York des années 20

 

Si ce roman était un acteur : Al Pacino / De Niro

 

Si ce roman était un instrument de musique : Une batterie

 

Si ce roman était une odeur : Le sang

 

Si ce roman était un vilain défaut : La vanité

 

Si ce roman était un sentiment : Le stress

 

Si ce roman était une pièce de la maison : Une cave

 

Si ce roman était un bruit : Une explosion , une détonation

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Une famille d'Américains s'installe à Cholong-sur-Avre, en Normandie. Fred, le père, se prétend écrivain et prépare un livre sur le Débarquement. Maggie, la mère, est bénévole dans une association caritative et se surpasse dans la préparation des barbecues. Belle, la fille, fait honneur à son prénom. Warren enfin a su se rendre indispensable pour tout et auprès de tous. Une famille apparemment comme les autres, en somme.
Une chose est sûre, s'ils emménagent dans votre quartier, fuyez sans vous retourner...
  
Partager cet article
Repost0
15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 05:00

 

Un été à Cold Spring de Richard Yates

 

 un-c3a9tc3a9-c3a0-cold-spring.jpg

 

Si ce roman était une odeur : la fumée de ciragette

 

Si ce roman était un tableau : Lighthouse de Edward Hopper

 

Si ce roman était un plat : la dinde de Thanksgiving

 

Si ce roman était un mot : rencontre

 

Si ce roman était un metteur en scène : George Cukor

 

Si ce roman était une boisson : un thé glacé

 

Si ce roman était un moyen de communication : le téléphone

 

Si ce roman était un jour de la semaine : le dimanche

 

Si ce roman était un adjectif : banal

 

Si ce roman était un vêtement : un polo Lacoste

 

Si ce roman était une pièce de la maison : le patio

 

Si ce roman était un bruit : un air de jazz sur une vieille radio

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Après l'échec cuisant d'un premier mariage, Evan Shepard voit en la jeune Rachel Drake, joyau fragile d'une famille névrosée, la chance d'un nouveau départ. Mais, au cours de cet été 1942 à Cold Spring, la vie, la guerre et le poids des liens familiaux l'aideront à mesurer l'ampleur des désillusions à venir...

«Richard Yates dépouille les trajectoires dont la fugacité, parcourue par une écriture aussi rapide que le temps qui passe, est l'ultime et bouleversante élégance.»

Partager cet article
Repost0
24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 04:37

 

L'arbre aux haricots de Barbara Kingsolver

 

 

 

 

Si ce roman était un sentiment : l’amitié

 

Si ce roman était une couleur : ocre

 

Si ce roman était un meuble : une table en formica

 

Si ce roman était un lieu : le désert de l’Arizona

 

Si ce roman était un bruit : un pneu qui explose

 

Si ce roman était un arbre : l'arbre aux haricots

 

Si ce roman était un plat : un hamburger

 

Si ce roman était un mot : Road trip

 

Si ce roman était un cadeau : une vieille Coccinelle Volkswagen

 

Si ce roman était une odeur : le bitume au soleil

 

Si ce roman était un cinéaste : Ridley Scott pour Thelma & Louis et le côté road trip

 

 

 

Le mot de l'éditeur :  

Taylor Greer n'a pas l'intention de finir ses jours dans le Kentucky, où les filles commencent à faire des bébés avant d'apprendre leurs tables de multiplication. Le jour où elle quitte le comté de Pittman au volant de sa vieille coccinelle Volkswagen, elle est bien décidée à rouler vers l'Ouest jusqu'à ce que sa voiture rende l'âme. C'est compter sans le désert de l'Oklahoma où, sur le parking d'un bar miteux, elle hérite d'un mystérieux balluchon : une petite Indienne. On est à Tucson dans l'Arizona ; Taylor a les yeux grands ouverts, de l'énergie à revendre et une bonne dose d'humour. Dans un garage un peu spécial, elle va rencontrer à la fois la générosité et l'inacceptable, et trouver l'espoir de garder celle qui est devenue son enfant, la petite Turtle.
L'Arbre aux haricots est une histoire de rire et de peine, un magnifique début pour une nouvelle romancière contemporaine. La suite des aventures de Turtle et de sa mère a été publiée sous le titre : Les Cochons au paradis (Rivages).
Partager cet article
Repost0
10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 04:17

 

La constance du jardinier de John Le Carré

 

 

 

Si ce roman était un sentiment : la compréhension
 

Si ce roman était une couleur : fauve
 

Si ce roman était un meuble : un fauteuil club
 

Si ce roman était un lieu : le désert 

 

Si ce roman était un bruit : le vent

 

Si ce roman était un végétal  : un bouleau

 

Si ce roman était un plat : un pudding

 

Si ce roman était un mot : mystère 

 

Si ce roman était un cadeau : un bijou

 

Si ce roman était un trait de caractère : la droiture 

 

Si ce roman était une odeur : un jardin vert et fleuri

 

Si ce roman était un verbe : découvrir 

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

Tessa Quayle, avocate anglaise, est sauvagement assassinée dans le nord du Kenya. Son compagnon de voyage et amant supposé, médecin africain d'une ONG, a disparu de la scène du crime.

Justin, l'époux de Tessa, diplomate à Nairobi et jardinier amateur, se lance dans une quête solitaire à la recherche des tueurs et de leur mobile, une quête qui l'entraîne à Londres puis à travers l'Europe et au Canada, pour le ramener en Afrique. Au long de son périple, il se heurtera à la violence et aux sombres machinations des multinationales pharmaceutiques, mais sa plus grande révélation sera la découverte de cette épouse qu'il n'a guère eu le temps d'aimer.

La Constance du jardinier mêle l'histoire bouleversante d'un homme, grandi par la tragédie et l'impitoyable exploration de la face cachée de la mondialisation, par l'un des romanciers les plus incisifs de notre époque.
Partager cet article
Repost0
20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 04:19

 

Avril enchanté  d'Elizabeth von Arnim

 

 
 
Si ce roman était un film  : Femmes, de Georges Cukor
 
 
Si ce roman était un objet : une petite annonce
  
 
Si ce roman était un sentiment : l'amitié féminine
 
  
Si ce roman était un vêtement : une capeline
 
 
Si ce roman était un adjectif : ensoleillé
 
 
Si ce roman était un lieu : un club pour femmes
 
 
Si ce roman était un peintre  : James Tissot
 
 
Si ce roman était un paysage : une roseraie
 
 
Si ce roman était un plat : un buffet italien
 
 
Si ce roman était une pièce de la maison : la terrasse
 
 
Si ce roman était un trait de caractère : la retenue  
 
 
Si ce roman était un réalisateur : Stephen Frears
 
 
 
 
 
Le mot de l'éditeur :
 
Comment résister à une pareille offre : « Particulier loue petit château médiéval meublé bord de la Méditerranée ». Un jour de pluie trop sale et d'autobus trop bondés, il n'en faut pas plus aux jeunes Londonniennes, Mrs Lotty Wilkins, Mrs. Arbuthnot, et deux autres colocataires pour se lancer seules dans l'aventure et partir, sans presque prévenir leurs époux, un mois en Italie. Au menu : Soleil, repos et réflexions. Écrit il y a plus d'un siècle, "Avril enchanté" est un roman majeur, surprenant par sa liberté de ton, sa légèreté et sa finesse d'esprit.

Partager cet article
Repost0
6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 04:49

 

La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules de Philippe Delerm

 

 

 
Si ce roman était une saison : l'été à mi-chemin entre le coeur du printemps et le début de l'automne. A vous de choisir !
 
Si ce roman était une chanson : A bicyclette, Yves Montand
 
Si ce roman était un plat : le navarin d'agneau avec plein de petits légumes nouveaux 
 
Si ce roman était un adjectif : gourmand
 
Si ce roman était un jour de la semaine : le dimanche
 
Si ce roman était un cadeau : un album photos 
 
Si ce roman était un super pouvoir : une machine à remonter le temps
 
Si ce roman était un verbe : partager 
 
Si ce roman était un sentiment : la nostalgie
 
Si ce roman était un réalisateur : Etienne Chatiliez (Le bonheur est dans le pré)
 
Si ce roman était une fleur : une jonquille
 
Si ce roman était un décor : une cuisine à l'ancienne, avec une table recouverte d'une toile cirée

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

 C'est facile, d'écosser les petits pois. Une pression du pouce sur la fente de la gousse et elle s'ouvre, docile, offerte. Quelques-unes, moins mûres, sont plus réticentes - une incision de l'ongle de l'index permet alors de déchirer le vert, et de sentir la mouillure et la chair dense, juste sous la peau faussement parcheminée. Après, on fait glisser les boules d'un seul doigt. La dernière est si minuscule. Parfois, on a envie de la croquer. Ce n'est pas bon, un peu amer, mais frais comme la cuisine de onze heures, cuisine de l'eau froide, des légumes épluchés - tous près, contre l'évier, quelques carottes nues brillent sur un torchon, finissent de sécher. "

Partager cet article
Repost0
22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 04:57

   

Zola Jackson de Gilles Leroy

 

9782715228740.jpg

 

 

Si ce roman était un bruit : celui d'un hélicoptère qui s'éloigne

 

Si ce roman était un cadeau : une photo encadrée

 

Si ce roman était un autre roman : Ouragan

 

Si ce roman était un metteur en scène : Clint Eastwood

 

Si ce roman était une boisson : un petit "remontant"

 

Si ce roman était arbre : un chêne fendu

 

Si ce roman était un vilain défaut : être une tête de mule

 

Si ce roman était un plat : un poulet cajun

 

Si ce roman était une chanson : une chanson de Bruce Springsteen

 

Si ce roman était un instrument de musique : un harmonica

 

Si ce roman était un tableau : L'arche de Noé de Marc Chagall

 

Si ce roman était un adjectif : indéstructible

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

  Août 2005, delta du Mississippi : l’ouragan Katrina s’abat sur la Nouvelle-Orléans. Les digues cèdent sur le lac Ponchartrain et les quartiers modestes sont engloutis.
La catastrophe touche de plein fouet la communauté noire. Tandis que ses voisins attendent des secours qui mettront des jours à arriver, l’institutrice Zola Jackson s’organise chez elle pour sa survie. L’eau continue de monter, inexorablement. Du ciel, les hélicoptères des télévisions filment la mort en direct.
Réfugiée dans le grenier avec sa chienne Lady, Zola n’a peut-être pas dit son dernier mot.
Sous la plume de Gilles Leroy, Zola Jackson, femme de trempe et mère émouvante, rejoint le cercle des grandes héroïnes romanesques

Partager cet article
Repost0
25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 05:11

 

La pluie, avant qu'elle tombe de Jonathan Coe

 

 

 

 

Si ce roman était une couleur : le blanc

 

 

Si ce roman était un objet : un polaroid

  

 

Si ce roman était un vilain défaut : Le désamour (maternel)

 

  

Si ce roman était un vêtement : une robe de chambre

 

 

Si ce roman était un adjectif : féminine

 

 

Si ce roman était une odeur : l’odeur de tourbe du whisky

 

 

Si ce roman était une chanson :Bailero, morceau des Chants d’Auvergne de Canteloube  

 

 

Si ce roman était un paysage : la campagne anglaise

 

 

Si ce roman était un plat : une crème anglaise

 

 

Si ce roman était une pièce de la maison : un salon feutré (avec cheminée)

 

 

Si ce roman était un sentiment : la passion amoureuse

 

 

Si ce roman était un réalisateur : François Ozon (8 femmes)

 
Le mot de l'éditeur :

Rosamond vient de mourir, mais sa voix résonne encore, dans une confession enregistrée, adressée à la mystérieuse Imogen. S'appuyant sur vingt photos soigneusement choisies, elle laisse libre cours à ses souvenirs et raconte, des années quarante à aujourd'hui, l'histoire de trois générations de femmes, liées par le désir, l'enfance perdue et quelques lieux magiques. Et de son récit douloureux et intense naît une question, lancinante : y a-t-il une logique qui préside à ces existences? Tout Jonathan Coe est là : la virtuosité de la construction, le don d'inscrire l'intime dans l'Histoire, l'obsession des coïncidences qui font osciller nos vies entre hasard et destin. Et s'il délaisse cette fois le masque de la comédie, il nous offre du même coup son roman le plus grave et le plus poignant.

Partager cet article
Repost0
4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 05:30

 

 

Les falsificateurs d'Antoine Bello 

 

  •  

  •  

  • Si ce roman était un paysage - un fjord islandais

  •  

  • Si ce roman était une saison -  l'hiver

  •  

  • Si ce roman était un bruit - des chuchotements

  •  

  • Si ce roman était un vêtement - le tenue de James Bond

  •  

  • Si ce roman était un verbe - croire

  •  

  • Si ce roman était une qualité - l'amitié

  •  

  • Si ce roman était un peintre - Dali

  •  

  • Si ce roman était une émotion - la naïveté

  •  

  • Si ce roman était un cadeau - une malette

  •  

  • Si ce roman était une pièce de la maison - un grenier poussiereux

  •  

  • Si ce roman était un vilain défaut - le mensonge

  •  

  • Si ce roman était un mot - duplicité

 

 

 

Le mot de l'éditeur :

C'est l'histoire d'une organisation secrète internationale, le CFR (Consortium de Falsification du réel) qui falsifie la réalité mais dont personne ne connaît les motivations. C'est l'histoire de quelques une des plus grandes supercheries de notre époque : de Laïka, la première chienne dans l'espace, qui n'a jamais existé, de Christophe Colomb qui n'a pas découvert l'Amérique, des fausses archives de la Stasi. C'est l'histoire d'un jeune homme, embauché par le CFR, qui veut comprendre pourquoi et pour qui il travaille. C'est l'histoire d'une bande d'amis qui veulent réussir leur vie, sans trop savoir ce que cela veut dire. C'est, d'une certaine façon, l'histoire de notre siècle.

Partager cet article
Repost0

Qui Sommes-Nous ?

  • : Les trois petits bouquins et le grand méchant tome...
  • : Blog dédié entièrement à la littérature en général et aux romans en particulier. Les 3bouquins est un lieu de rencontre et d'échange pour tous ceux qui partagent ma passion pour les livres !
  • Contact

Rechercher Un Article

 

Piscine03

 

Pour nous écrire

Vous pouvez nous envoyer un mail :

3bouquins@gmail.com